Du rififi dans la signature du contrat de Nibombé Daré comme sélectionneur des Eperviers du Togo : Mme le Ministre des Sports et des Loisirs lève le voile.

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L’on a cru que la signature du contrat de Nibombé Daré comme sélectionneur des Eperviers du Togo passerait comme une lettre à la poste, loin s’en faut. Chasser le naturel il revient au galop.

Au Togo, les rumeurs deviennent parfois la clameur. C’est comme pour dire il n’y a jamais de la fumée sans feu. Il y a quelques jours l’on croyait que le retard de la signature du contrat de monsieur Nibombé Daré était une question du conflit d’agenda de Mme le Ministre des Sports et des Loisirs dû aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Mais suite à la sortie de monsieur Gilbert HALBA conseiller en communication de Mme le Ministre des Sports et des Loisirs Monsieur Dr Lidi Besi Kamma, l’opinion nationale et internationale savent  désormais où se trouve le blocus. « La meilleure façon de faire taire les rumeurs c’est de communiquer » disait l’ex Président des Etats Unis S.E.M. Barack Obama.

Selon Monsieur HALBA : « Monsieur Nibombé Daré ne veut pas de Monsieur Coubadja Kader dans son staff comme second entraîneur ».

Selon Daré Nibombé « Il ne veut pas de kader soit membre de son staff mais comme collègue Sélectionneur. Il préfère Monsieur Abalo Dosseh comme second entraineur car il maitrise le championnat Togolais….  »

Notre démarche consiste à savoir : Qui recrute qui ? Qui paie qui ?

Dans le processus de recrutement des sélectionneurs, c’est l’Etat qui est l’employeur. C’est lui qui recrute, qui définit les clauses du contrat et c’est lui qui paie. Le sélectionneur est libre d’accepter ou pas.

A l’analyse des réactions, je me pose aussi la question de savoir : Qui impose à qui ?

Si monsieur Coubadja a déjà un contrat avec l’Etat, et Monsieur Daré Nibombé demande qu’on signe un contrat à monsieur Abalo Dosseh, il ressort que c’est lui qui impose le coach Abalo à l’Etat.

Au regard de tout ce qui précède, nous pensons qu’il est judicieux de privilégier le dialogue et le bon sens pour éviter de fragiliser la cohésion sociale au tour du football Togolais déjà mimé par la guerre d’intérêt. Vu l’échéance des matchs des Eperviers prévus dans moins d’un mois, le peuple togolais n’a plus besoin d’un feuilleton de guerre de personne. C’est notre point de vue  ou de moi.

La rédaction. JA.

 

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